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Insécurité : Quand les bandes armées dictent leur loi dans la région métropolitaine

Durant la nuit du 10 au 11 décembre 2024, plusieurs quartiers de Port-au-Prince ont été le théâtre d’actes de violence extrême perpétrés par des gangs armés. Les zones de Delmas 17 et 19, ainsi que le Carrefour-Aéroport, ont particulièrement souffert de cette vague de criminalité, avec des décès tragiques signalés et des véhicules incendiés.

Ces attaques ont plongé les habitants dans une terreur profonde, aggravée par des tirs nourris d’armes de guerre entendus dans des secteurs tels que Nazon, Christ-Roi et le Bas-Delmas.

Face à cette escalade de violence, la population continue de réclamer désespérément une intervention sécuritaire efficace de la part du gouvernement de facto, dirigé par Alix Didier Fils-Aimé. Bien que les forces de sécurité haïtiennes, soutenues par la MMAS, aient enregistré certains progrès dans des régions ciblées, leur capacité à contenir ces groupes criminels reste limitée.

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Les gangs armés, plus déterminés que jamais, maintiennent leur emprise sur de larges parties du territoire, défiant ouvertement les autorités et rendant la vie quotidienne insoutenable pour de nombreux citoyens.

Mag.2 News

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