L’ex-Première dame haïtienne, Martine Moïse, se retrouve au cœur d’une controverse croissante, révélant des détails préoccupants avant même l’émission d’un mandat d’arrêt à son encontre. Des sources indiquent que Martine Moïse aurait détenu un visa expiré aux États-Unis, soulevant des questions supplémentaires sur sa situation légale.
La situation s’est encore compliquée après la fuite de Martine Moïse, évitant ainsi une convocation de la justice haïtienne. Cette évolution intervient à la suite d’incohérences flagrantes dans ses déclarations à la presse, notamment sa prétendue cachette sous le lit lors de l’assassinat du président Jovenel Moïse.
Des enquêtes menées par le FBI et le Juge Voltaire ont jeté une lumière troublante sur ces déclarations. En effet, lors de leur visite sur les lieux du meurtre avant l’invitation de Martine Moïse, les agents du FBI et le Juge Voltaire ont constaté que le lit en question n’était pas suffisamment élevé pour permettre à Martine Moïse de s’y cacher dessous, jetant ainsi le doute sur la véracité de ses affirmations.
Les mercenaires colombiens, impliqués dans l’assassinat de Jovenel Moïse, nient catégoriquement avoir tiré sur Martine. Ils ont demandé une confrontation, offrant ainsi à Martine Moïse l’opportunité de montrer où elle prétend avoir été touchée. Cependant, Martine a fermement refusé de comparaître devant le juge Voltaire.
La controverse autour de Martine Moïse continue de s’intensifier, combinant des questions sur son statut légal aux États-Unis, des incohérences dans ses déclarations médiatiques, et un refus de coopérer avec les autorités judiciaires haïtiennes. Cette affaire ajoute une nouvelle dimension complexe à l’enquête sur l’assassinat du président Jovenel Moïse et soulève des interrogations sur la transparence des événements entourant cet acte tragique.
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